9 septembre 2013
le bonheur n'obéit à notre volonté, mais à notre décision.
C'est un paradoxe. Le bonheur, ce n'est pas un chose qu'on puisse vouloir et créer des seules forces de sa volonté, c'est plutôt une décision que l'on prend, "parce que c'est bon pour la santé" aurait ajouté Voltaire. C'est le choix de traiter les évenements et les informations de manière à ce que cela servent au mieux l'interprétation "heureuse" que l'on donne à tout ce qui nous arrive, au dedans comme au dehors de nous. C'est un paradigme, une heuristique, un filtre que l'on pose devant la compréhension que l'on a du monde, des autres ou de soi.
Publicité
Publicité
Commentaires